Un nombre croissant d’enfants reçoit un diagnostic de TSA, et leurs soins nécessitent de fréquentes interactions avec le système de santé. De rapides interactions avec des professionnels de la santé, dans un cadre inconnu et imprévisible, sont intrinsèquement difficiles pour les enfants autistes que caractérisent souvent des difficultés sociales de communication, un degré élevé d’anxiété, une sensibilité sensorielle et une préférence pour la routine et la prévisibilité. Grâce à sa recherche sur les interactions entre enfants autistes et professionnels de la santé avant une intervention chirurgicale, Stephanie espère comprendre les facteurs contribuant à la détresse de ces jeunes patients, afin de déterminer comment la mesurer avec précision et comment l’atténuer dans la mesure du possible. Le but ultime de Stephanie est d’approfondir la compréhension des incidences des soins chirurgicaux pour les enfants autistes et leurs familles.
Élève prometteuse au secondaire à St John (Terre-Neuve), Stephanie a suivi un cours avancé en psychologie, et s’est immédiatement intéressée au domaine. Impressionnée par la réputation de l’Université Dalhousie en psychologie et en neuroscience, elle a décidé d’y poursuivre son diplôme d’études supérieures en raison des possibilités de recherche offertes entre Dalhousie et l’hôpital Izaak Walton Killam [IWK].
Dans ses temps libres, Stephanie est en mesure de parfaire ses compétences cliniques par des stages, et elle est représentante des étudiants au C.A. de l’Ordre des psychologues de la Nouvelle-Écosse, et au comité de promotion. Elle aime aussi le yoga, cuisiner, passer du temps avec son mari et ses amis, et regarder The West Wing.